Beyond the Road: Kevin Bosman
Dans cette édition de « Beyond the Road », nous vous présentons Kevin Bosman, directeur des ressources humaines chez Santens, un grossiste ambitieux de matériaux de construction et d’outils. Une conversation sincère sur les manières d’intéresser les salariés à la conduite électrique avant même qu’ils ne possèdent leur voiture et sur son admiration pour les marques et les personnes qui ont une opinion tranchée.
Pas de cravate ou de veston chez Kevin Bosman, juste un léger accent du pays de Waas. Et cela ne dérange pas du tout, car le directeur de ressources humaines de Santens de 39 ans reste toujours lui-même : joyeux et ambitieux, mais réaliste, et passionné d’Anderlecht, du padel et des sports en général.
Une autre caractéristique de Kevin : il prend les choses en main, profite de chaque opportunité et crée son propre chemin. Une mentalité pragmatique très utile dans son rôle de directeur de ressources humaines, le département où il forme une moitié de l’équipe de petite taille, mais bien coordonnée. Alors qu’un jour, il règle l’uniforme d’une nouvelle recrue, un autre jour, il contribue aux réflexions stratégiques sur le futur de l’entreprise gantoise ambitieuse. C’est nécessaire : en 85 ans, le grossiste de matériaux de construction et d’outils, qui était autrefois une petite quincaillerie, est devenu un centre commercial à quatre magasins avec son propre centre de distribution et plus de 150 membres du personnel.
De plus, l’intérieur des voitures a l’air très futuriste. Elles sont vraiment innovantes, ce qui nous a également plu. Ces facteurs, ainsi que le prix de leasing et le TCO attirant, ont été les principaux de notre décision d’intégrer Polestar dans notre car policy
Sparring-partner dans l’entrepreneuriat durable
Une mise à jour du parc automobile fait également partie de cette croissance. Santens est une PME hyperflamande fière de ses origines gantoises. C’est en partant de cet engagement que Bosman a fait appel à Volvo Car Gent. Ajoutez-y les avantages fiscaux du gouvernement sur les voitures électriques, et Polestar n’a pas tardé à se faire remarquer. « Nous avons comparé plusieurs marques de voitures. Nous avons fini par choisir Polestar sur la base de l’autonomie. En effet, nous voulons que nos délégués puissent assister leur clientèle sans soucis », dit le Flamand. « De plus, l’intérieur des voitures a l’air très futuriste. Elles sont vraiment innovantes, ce qui nous a également plu. Ces facteurs, ainsi que le prix de leasing et le TCO attirant, ont été les principaux de notre décision d’intégrer Polestar dans notre car policy », ajoute Kevin.
Jusqu’ici, Bosman n’a pas du tout regretté sa décision. En passant en revue le début du partenariat, il souligne l’importance de Daan, le contact de Santens chez Polestar, pendant cette collaboration. « Daan a été un véritable sparring-partner pour nous. On se lance à une telle aventure en tant que directeur de la flotte ou de ressources humaines, mais il a vraiment élargi notre horizon et il nous a aidé à ne pas trop restreindre notre idée du parc automobile. Il nous a informés de toutes les possibilités en matière d’entrepreneuriat durable et il a tout considéré sous un angle plus large et durable. Et j’ai vraiment apprécié cela », déclare Bosman.
Ils ont été tenus au courant de chaque étape de la commande de leur Polestar, allant de la production au collage des autocollants en passant par le transport, ce qu’ils ont adoré. C’était génial de voir comment Polestar les a impliqués dans ce procès.
Un parc automobile simplifié. Un personnel enthousiaste.
Du point de vue de sa fonction en tant que directeur de la flotte, Bosman aimait surtout les packs d’options de Polestar. En effet, ils ont rendu son travail beaucoup plus facile. « Si on veut des sièges chauffés à l’arrière, ils font partie du pack Climate, qui inclut d’office d’autres options. Polestar offre rarement des options individuelles, ce que je trouve pratique. Ainsi, toutes les voitures de notre parc automobile sont équipées plus ou moins de la même manière. Cela les rend adéquates pour tous nos employés, peu importe la grandeur de leur famille ou s’ils habitent en ville ou non. De cette manière, la gestion du parc automobile devient beaucoup plus facile », explique Bosman.
L’expérience individuelle de Kevin était positive, mais Polestar a également plu aux employés de Santens. Ils étaient enthousiastes avant même que leur Polestar fût garée devant leur porte, ce qui était partiellement attribuable à l’approche personnelle. « Polestar a étendu à notre personnel la même collaboration étroite que Daan avait établie avec moi. Ils ont été tenus au courant de chaque étape de la commande de leur Polestar, allant de la production au collage des autocollants en passant par le transport, ce qu’ils ont adoré. C’était génial de voir comment Polestar les a impliqu és dans ce procès. » Afin de les séduire entièrement à faire la transition vers la conduite électrique, Santens a investi dans des bornes de recharge, non seulement au siège de l’entreprise, mais aussi chez les salariés. Ainsi, l’entreprise élimine le problème de l’anxiété d’autonomie.
Des personnes et des marques qui ont une opinion
Outre les voitures elles-mêmes et la coopération professionnelle, le directeur des ressources humaines a un faible pour Polestar en tant qu’entreprise pour une raison personnelle. « J’apprécie les personnes qui défendent leurs opinions. Filip Joos ou Vincent Kompany, par exemple, ont souvent des opinions tranchées. Parfois on est d’accord, parfois pas, mais on connaît le point de vue de cette personne. Et c’est exactement la même chose chez Polestar », nous confie Kevin. Le directeur des ressources humaines de Santens admire clairement le fait que Polestar prenne une position aussi explicite sur le développement durable et y associe des objectifs concrets.
