Semaine du climat de New York : rassemblement en faveur de l’action climatique
Chaque année, certains des leaders les plus influents du monde économique, politique et scientifique se réunissent à New York pour discuter de la lutte contre le changement climatique. Mais aussi et surtout pour identifier les actions urgentes à mener en la matière. L’un des meilleurs moyens d’atteindre un objectif consiste à ne pas être seul à y travailler. Dès lors, la collaboration s’avère fondamentale pour insuffler le changement dont nous avons besoin. Surtout lorsqu’il y a urgence.
Selon une étude internationale menée aux côtés de GlobeScan et impliquant 18 000 participants dans 19 marchés en Amérique du Nord, en Asie-Pacifique et en Europe, 34 % des consommateurs sont favorables au bannissement des véhicules à moteur à combustion interne (MCI) d’ici 2030. Et ce pourcentage grimpe à 47 % lorsque le délai est reporté à 2035. Pourtant, malgré le fait qu’un tiers des consommateurs soutienne l’interdiction de produire de nouveaux véhicules essence et diesel d’ici 2030 (ou avant), les responsables politiques et l’industrie automobile restent à la traîne.
Chaque année, quelque quatre-vingts millions de nouvelles voitures sont produites. Or, à peine 1,5 % des voitures en circulation aujourd’hui sont électriques. Pour répondre aux exigences de la planète et de la population, il va de soi qu’un changement s’impose.
Dès lors, puisque la collaboration est essentielle à la concrétisation du changement, Polestar a participé à la Semaine du climat de New York afin d’y rencontrer des décideurs politiques, des ONG, des entreprises et des consommateurs qui œuvrent pour réduire notre impact sur le climat. Fredrika Klarén, directrice du développement durable chez Polestar, a rejoint une table ronde pour les médias aux côtés de Hertz, Bloomberg et Green biz, parmi d’autres. Elle a par ailleurs prononcé plusieurs discours liminaires et particip é à des débats d’experts, parmi lesquels le débat We Don't Have Time, suivi en direct par 11 millions de spectateurs dans le monde.
« Rencontrer des personnes qui partagent nos ambitions s’avère très précieux », explique Fredrika. « L’action pour le climat est un enjeu complexe, et le greenwashing et l’absence de transparence empêchent de véritablement comprendre ce qui se passe et ce qui fonctionne vraiment. La Semaine du climat de New York, c’est un rendez-vous qui nous permet de nous rencontrer en personne, d’écouter d’autres entreprises et organisations qui partagent nos objectifs, et d’en tirer des leçons. C’est l’occasion idéale d’échanger nos expériences et de nouer de nouvelles alliances. »
« Il est évident que nous devons accélérer la transition des MCI vers les voitures électriques, et les discussions que nous avons menées à New York confirment une fois de plus que c’est aussi le souhait des consommateurs », poursuit-elle. « La Semaine du climat de New York constitue une étape essentielle vers la COP27, où nous continuerons à partager nos principaux messages avec le monde. »
Les messages de Polestar sont clairs. Nous avons besoin de plus de véhicules électriques sur nos routes, de chaînes d’approvisionnement décarbonées en profondeur et de davantage d’énergie renouvelable. Maintenant. Et la seule façon d’y parvenir passe par la transparence, la collaboration, l’engagement et l’action.
01/02
Lors de la COP26 l’an dernier, les objectifs climatiques de Polestar ont été gravés dans la pierre. Nous avons par ailleurs invité d’autres marques automobiles à prendre des mesures et à embrasser notre mission de neutralité climatique. Beaucoup de paroles ont été dites lors de la conférence, mais malheureusement, les actions n’ont pas été à la hauteur. Le silence est la seule chose que notre industrie a gravée dans la pierre. Nous espérons que cette année, d’autres briseront ce silence.
« Si l’on considère qu’à peine 1,5 % des véhicules en circulation aujourd’hui sont électriques, il est clair que nous assistons, non pas à un boom, mais à une bulle électrique », affirme Thomas Ingenlath, CEO de Polestar. « Cette décennie s’avère véritablement décisive si nous voulons respecter l’accord de Paris. Nous avons besoin de gouvernements qui mènent la lutte avec des politiques solides, à la fois en matière d’infrastructures et de prix de l’électricité, afin que les conducteurs puissent passer à l’électrique en toute confiance. Mais plus important encore, les constructeurs automobiles doivent agir maintenant, sans attendre les changements politiques. »
Engagement, collaboration et action sont les trois ingrédients du changement. Et pour accélérer notre transition vers la neutralité climatique, le changement est primordial. L’heure est venue de rompre le silence et d’agir avant qu’il ne soit trop tard.